Huit coups retentissent à l'horloge de Stormwind...
Les rayons du soleil qui s'endort bercent cette grande cité où les habitants se cottoient, marchandent, boivent et festoient.
Le parc etait tres prisé pour son atmosphère reposante et revigorante, c'est pour cela que de nombreux couples, amis et solitaires y etaient presents. Un grand elfe se tenait alors pres de la grande source.
Quelques minutes s'écoulèrent et un autre elfe vint a sa rencontre. Ils s'echangerent alors diverses paroles puis l'elfe, a musculature fine et developpée suite aux aventures vecues, se leva et s'en alla en grognant de toute ses forces.
Il se réfugia dans une taverne et eu la main lourde sur sa bourse. Alors qu'il s'appretait a nouveau a se verser de l'alcool nain directement a la bouche, un elfe bien plus robuste et aguerri lui stoppa le bras et le cogna jusqu'a ce qu'il ne ressente plus la douleur, deja attenuée par l'alcool, puis deguerpi.
L'elfe gisait sur le sol, seul, agonisant, ensanglenté.
Peut etre etait-ce en consequence de sa frebrilité, mais il pouvait entendre une voix tres lointaine lui souffler:
"Que se passe-t-il Monakiel, pourquoi ne demandes-tu pas de l'aide ?"
Ne sachant pas trop ce qu'il devait faire, sujet a des hallucinations sonores, il repondit malgré lui, une force spirituelle l'envahissant:
"Mes... amis vont arriver...humf...
-Ils ne viendront pas jeune chasseur, tu n'avais, n'a et n'aura jamais d'amis pour t'entourer, cela est ta destiné !
-C'est faux!, je suis seul maitre de mon avenir...
-en effet, mais quoique tu fasses, ta destiné est deja tracée... tu souffres et je le sais.
-Mais qui es-tu ?
La voix dans sa tete s'intensifia, tordant de douleur le chasseur.
-Tu dois commencer a apprendre ce que TU es vraiment. Toutes tes tentatives pour y echapper ont échouée...
-Mais... ce n'est pas possible.. laissez moi mourir... je ne comprend pas!
-Oh non, je te le repete, tes amis t'ont trahi...
-Non, ce n'est ... pas vrai !
-Tu ne mourras pas, ce qui es en toi te tiens en vie.
-Je ne me laisserais pas faire.
Les paupieres de Monakiel se fermerent et tout devint noir... obscur... il vit une multitude d'horreurs et agonisa seul.
Cette nuit là, la petite voix l'avais transformé
